C’est toujours compliqué pour un auteur de dire, là est la fin, quand il y a encore tant de choses qui traversent son mental. J’ai posé beaucoup de questions dans ces quelques lignes, et toutes n’ont pas trouvé de réponses. Elles sont là suspendues, en attente d’un nouvel ouvrage. Mais tout début a nécessairement une fin. C’est ainsi dans notre univers de formes. Tout a une fin ! Que cette fin soit le point de départ d’où l’observateur regarde le monde ou qu’elle soit dans un espace non perceptible, la fin montre que le mouvement est possible et donc le changement, que rien n’est immuable mais que tout peut se créer, même si créer n’est que réajuster, réorganiser ce qui est. Sans fin, nous entrons dans l’éternité et l’infinité est ce qui est sans mouvement parce que le temps, cette conscience qui parcourt les espaces des univers de la forme y est absent.
Pour échapper à cette fin, il faut se donner la perspective de changer d’espace, d’ouvrir d’autres pages, d’écrire d’autres mots qui engendreront d’autres temps de vie. Le mental est si prolixe quand il le veut bien. Rien ne lui est impossible sauf la limitation que l’homme lui donne. Alors je ferme cet écrit, ces chapitres, je clos ce que je vous ai apporté ici, pour demain pouvoir encore ouvrir un autre chapitre de la conscience.
A bientôt.
Photo de Wouter de Jong provenant de Pexels
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