LES PRÉDATEURS

Notre monde fait face à des prédateurs. Sommes-nous des esclaves ? Oui ? 
Alors, que sont ces entités qui se nourrissent de nous ? Sont-elles des consciences qui appartiennent à des lignées espritiques ? Si ce n’est pas le cas d’où proviennent-elles ? Sont-elles une création de l’anomalie elle-même ? 

Photo de bt3gl provenant de Pexels

Ces questions sont régulièrement posées sur les réseaux sociaux. Nous avons même des solutions pour nous permettre de nous dégager des liens qui nous relient à ces prédateurs. 

Notre monde de la forme contiendrait alors des êtres non mémoriels, sortes de robots générés par des programmations et qui développent leur propre vie. Ils ne sont pas des essences espritiques à mémoires uniques siège des micros-consciences et à mémoires multiples tels les êtres humains. Cela expliquerait pourquoi ces prédateurs ont besoin de ce que nous produisons en terme de mémoires, nos mémoires étant chargées positivement ou négativement. 

Nous nommons « prédateurs » ceux qui se délectent de mémoires à charges basses et d’anges ou de dieux, ceux qui se délectent de mémoires à charges élevées. Les mémoires sont des formes constituées de particules qui s’interconnectent ou se repoussent selon la charge apportée par une micro-conscience émotionnelle, par exemple. Une émotion de peine diminue l’intensité de la vibration mais crée une sorte de structure gluante qui satisfait certains prédateurs. 

Une émotion de joie augmente l’intensité de la vibration qui nourrit un autre type de prédateurs, ceux dont la lumière rayonne dans notre mental et que nous nommons anges, maîtres, déités… Mais ils font partie du système de prédation. Cependant, les voir nous éblouit et nous les adulons. Pourtant leur intérêt à nous rendre heureux contribue à leur nourriture. Parfois, nous recevons un peu de leur lumière en échange de nos bons et loyaux services pour avoir en retour une production multipliée de vibrations hautes. Et des consciences se font piéger et intègrent ces sphères apportant leur éclat à ces mondes. Certains les nomment des solaires, ils reflètent de belles apparences et nous invitent à partager leurs demeures, mais eux aussi nous leurrent. Les autres sont appelés démons. Ils imitent les formes de vie pour lesquelles nous avons des répulsions, celles qui génèrent des basses vibrations, la peur, le dégout. En fait, c’est notre conscience qui les perçoit à travers ces formes effrayantes. C’est pourquoi, nous parlons d’être arachnides, de mantes religieuses, de créatures reptiliennes. L’apparence semble occuper une place importante dans nos réactions. 

Comment se défaire de tous ces prédateurs ? Notre conscience doit pouvoir percer cette illusion et nous libérer des allégeances que nous faisons à ces entités qui ne possèdent pas de consciences, mais qui se multiplient par l’absorption des mémoires que nous produisons dans l’espace de la forme. Notre univers s’expanse et nous sommes en partie à l’origine de cette expansion. Tout existe déjà, mais nous multiplions les pains de vie en décomposant les formes par notre capacité à créer et en donnant à ces entités ce qu’elles recherchent, se nourrir pour croître à nos dépens. 

Nous sommes en guerre même si nos consciences, de par leur jeunesse, ne le perçoivent pas. L’avenir sera à eux ou l’avenir sera à nous. Survivrons-nous ? Survivrons-nous dans un monde effrayant ou dans un monde lumineux, ou survivrons-nous tout simplement pleinement libres d’exister ?

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